Une main énorme venait de saisir l'anse et soulevait le seau vigoureusement. Va en puiser à la source. *** 14 * CE2 ** CM1 *** CM2 CE2 m 1. Elle sentit le froid à ses mains qu'elle avait mouillées en puisant de l'eau. L'étrangeté est un univers différent, non familier, plus de repère, le personnage se sent autre, étranger à lui-même. Quiconque s'enfonce dans le contraire du jour se sent le cœur serré. La brume, lugubrement empourprée, élargissait l'astre. Cosette n'a pas eu peur car elle a reconnu la grâce, le miracle, la main de Dieu (sublime). Car il est des choses qui font ouvrir les yeux aux mortes dans leur tombeau. Au dessus de sa tête, le ciel était couvert de vastes nuages noirs qui étaient comme des pans de fumée. La sérénité ne peut être atteinte que par un esprit désespéré. Elle eût bien voulu repartir tout de suite ; mais l’effort de remplir le seau avait été tel qu’il lui fut impossible de faire un pas. On garde de l'univers chrétien uniquement le caractère miraculeux. Les deux enfants sont dans un concept non adapté à leur âge : sexualité, obscénité. C'est peut-être une indication qu'affectivité et raison sont plus étroitement unies qu'on ne le croit, dans l'esprit, précisément. Donc ce récit a une portée allégorique comme les paraboles de la bible. Nadine est tout le contraire de J. Valjean mais pourtant Momo a peur d'elle mais c'est une peur réfléchie (pragmatique). IV) Un texte poétique qui imite le style biblique. C'est un roman historique, social, philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo. Tu étais dans le bois, tu avais bien peur ; te rappelles-tu quand j’ai pris l’anse du seau d’eau ? Quiconque s'enfonce dans le contraire du jour se sent le cœur serré. Cela lui rendit la perception vraie des choses qui l'entouraient. Il s'agit d'ouvrir les yeux des lecteurs qui jusque là semblent fermés à la misère des enfants. On est dans un entre-deux trouble entre le réalisme et l'imaginaire ; l'imaginaire rentre dans le réalisme. Baudelaire en parlait dans "La Charogne", l'homme est fasciné par le morbide. L'âme est comparée implicitement à un oiseau : cette image poétique confère un caractère angélique : la grâce. » Rousseau, Sur l'origine de l'inégalité, 1755. La terreur est dite de façon superlative, on est au paroxysme de la peur. LE SITE D'AIDE A LA DISSERTATION ET AU COMMENTAIRE DE TEXTE EN PHILOSOPHIE, Aperçu du corrigé : Victor Hugo, Les Misérables: Cosette dans la forêt. Près d'un châtaignier, elle a fait encore une halte puis a repris le seau. Des petits détails touchants vont souligner l'attendrissement mais avec pudeur : "les sanglots lui serraient la gorge, mais elle n'osait pas pleurer". Cependant elle ne pouvait pas faire beaucoup de chemin de la sorte, et elle allait bien lentement. Hugo fait donc ressentir l'atmosphère du merveilleux chrétien. Elle désigne d'autre part l'âme, l'être immatériel qui constitue notre intériorité, notre personnalité. L'attendrissement est permis par les antithèses et les jeux de contrastes resserrent la pitié et l'intensité dramatique (mise en valeur). Une main, qui lui parut énorme, venait de saisir l'anse et la soulevait vigoureusement. Cosette est comme le Christ, une victime sacrificielle. Incitation é la haine raciale Le marchand qui avait demandé le seau d’eau était allé lui-même le porter à son cheval. Elles sont magnifiques. Les mains arrivent de façon inattendue car il s'agit de la main de Dieu : c'est la providence (miracle). Fleurs du monde vivant, Victor Hugo : Quatre-vingt-treize : Premi�re partie : Livre 2 : Chapitre IV, Victor Hugo : Ruy Blas : Acte V sc�ne 4 (D�nouement), Victor Hugo : Vieille chanson du jeune temps, Accueil : Les explications de textes pour le bac de français. Blog: Blanc-seing. Afin d’émouvoir plus encore le destinataire, les deux seuls accessoires placés dans le cadre sont géants : le balai est deux fois plus grand que Cosette et le seau, colossal et rempli d’eau, ne semble pas pouvoir être porté. Hugo pointe du doigt un scandale : les hommes ne jouent pas leur rôle naturel assigné par Dieu, à savoir protéger les enfants. souligne le verbe en rouge, donne son infinitif, entoure le sujet en bleu et le groupe déplaçable et Dans l'éclipsé, dans la nuit, dans l'opacité fuligineuse (1) il y a de l'anxiété, même pour les plus forts. Le marchand qui avait demandé le seau d’eau était allé lui-même le porter à son cheval. Va en puiser à la source. Dans Les Misérables de Victor Hugo, la petite Cosette, âgée de huit ans, a été envoyée de nuit remplir un seau d'eau à une source située en plein bois, loin de toute habitation. *En ce soir de Noël, Mme Thénardier dit à Cosette : « Il n’y a plus d’eau ! Le réalisme augmente l'attendrissement. >> commentaires. Ces mains augustes 3 3 ne remuaient plus. De tous côtés il y avait des étendues lugubres. SUJET En étudiant ce texte sous forme de commentaire composé, vous montrerez par quels moyens Victor Hugo nous fait ressentir l'angoisse de Cosette. Tous droits réservés. Personnage énergique et ayant un grand coeur ; de ses mains sort le bien. Dans les moments où on est plus le plus vulnérable ressort ce qu'on déteste chez soi, les angoisses qui travaillent notre inconscient d'où l'inquiétude. Or ca correspond a l’age que Fantine lui avait donne. Le tragique masque de l'ombre semblait se pencher vaguement sur cet enfant. Il est décédé l'an dernier à 34 ans. Gary désacralise tout. Cosette et Momo sont dans le même état de désespoir. Partir de soi, c’est ce qu’a entrepris Christophe DELESSART pour donner la parole sur scène à Valjean. "Victor Hugo, Les Misérables: Cosette dans la forêt", La distinction entre l'art et la technique. Elle fit ainsi une douzaine de pas, mais le seau était plein, il était lourd, elle fut forcée de le reposer à terre. Elle eut de la peine à soulever le seau. Cosette est un court-métrage réalisé par Bourobs Jacobson. Nul ne marche seul la nuit dans la forêt sans tremblement... On éprouve quelque chose de hideux comme si l'âme s'amalgamait à l'ombre. Cosette est symbolique alors que Momo est réaliste. La forêt est une prison alors que l'apocalypse renvoie à une idée de destruction. Par essence, la victime sacrificielle sera toujours la plus faible. Pour augmenter la faiblesse de Cosette on a toujours des petits adjectifs qui pointent du doigt cette fragilité : "bras maigres", "petites mains", "jambes nues", "pauvre petit être" ; la comparaison avec une vieille est permise par une déformation par le travail qui rapproche Cosette de la mort. Une parabole a un sens moral dans la bible, c'est au lecteur d'interpréter. Un vent froid soufflait de la plaine. A travers ce passage on a une dénonciation de la maltraitance des enfants. «Des buissons chétifs et difformes» : le bois de Montfermeil. » Cosette quitte l’auberge avec un seau, elle longe une rangée de boutiques. L'axe est donné, je dois montrer comment l'auteur transforme la marche en forêt en une entrée dans un monde terrifiant. Le sublime est le sentiment d'origine divine qui transcende tout, qui dépasse l'entendement. Néanmoins, la présente de lumière donne espoir à Cosette. Dans Les Misérables de Victor Hugo, la petite Cosette, âgée de huit ans, a été envoyée de nuit remplir un seau d'eau à une source située en plein bois, loin de toute habitation. Une nuit, un etranger l'aide a porter son lourd seau d'eau. La fragilité du personnage augmente la pitié. Atteinte aux droits des marques Son regard tomba sur le seau qui était devant elle. On a une vision moderne de la prostitution dans "La Vie devant soi" tandis que dans "Les Misérables" on a une vision traditionnelle, biblique, de la prostituée déchue. Quinn n’était pas l’instigateur du défi du seau d'eau glacée, qui avait inondé les réseaux sociaux en 2014, mais lui et ses proches avaient contribué à en faire un phénomène mondial. La démonstration de cette parabole est que Dieu n'abandonne jamais les hommes et qu'il ne faut jamais perdre espoir en Dieu ; c'est le message d'espoir d'Hugo car la foi de Cosette a suscité le miracle. Comparaison avec la rencontre de Momo et Nadine. L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn). L'intensité augmente et imite la fuite éperdue de Cosette. Les expressions manquent pour dire ce qu'avait d'étrange ce frisson qui la glaçait jusqu'au fond du coeur. Victor Hugo fait ressentir la crise panique qui saisit Cosette : "s'enfuir, s'enfuir" est une répétition qui imite l'affolement ; on a une accumulation, une gradation, le rythme s'emballe comme son coeur. Cosette était maigre et blême. Tout est perverti, Momo propose même à Nadine d'être son proxénète. ... Sur la Locomotive. C’est la première fois que j’ai touché ta petite main.» Jean Valjean raconte ainsi sa rencontre avec l’héroïne des «Misérables» devant ce qui s’appelait autrefois la fontaine Buisson. Puis un silence avant deuxieme temps , l. 15-21 a savoir le pas de mere , l. 22-28 atroce revelation puis silence , l29-42 : homme commence a elaborer sa strategie et enfin le dernier paragraphe est un commentaire du narrateur. L'univers des misérables a donc une explication divine. Sans se rendre compte de ce qu'elle éprouvait, Cosette se sentait saisir par cette énormité noire de la nature. Hugo met en valeur le silence pour mettre en valeur cette simplicité. Malaise fait d'un sentiment d'inquiétude relative à un avenir incertain et au sentiment de notre situation de mortel. J. Valjean ramasse le seau d'eau ; cette eau … Le personnage de Cosette a sûrement inspiré le personnage de Momo pour Gary ; Momo fuit l'A.P., tout comme Cosette fuit les Thénardier ; les deux enfants cherchent tous les deux quelqu'un à aimer. L'enfant regardait d'un œil égaré cette grosse étoile qu'elle ne connaissait pas et qui lui faisait peur. Il y a des mots simples, les plus généreux possibles, des phrases minimalistes donc il imite le style biblique. Hugo trouve cela scandaleux de proférer des obscénités pareilles devant un enfant alors que Gary ne dénonce rien car les choses se font comme elles doivent se faire ; les obscénités sont dans la vie. Les mots sont les relais de Dieu. Cela permet de donner une portée générale au texte, cela donne à deviner au lecteur que le récit va être miné dans un point de vue religieux. village - arrive – Cosette – à la source – enfin – dans le bois – et – plonge - elle – dans l’eau – son seau. Le terme "hélas" est un cri du coeur du narrateur impuissant devant la violence de la scène alors que "bien" est une expression populaire et naïve pour augmenter la proximité avec le personnage. Elus ! Elle fit ainsi une douzaine de pas, mais le seau était plein, il était lourd, elle fut forcée de le reposer à terre. Il est né le 26 février 1802 à Besançon, mort le 22 mai 1885 à Paris. Type d'abus : Cette pénétration des ténèbres est inexprimablement sinistre dans un enfant. Cosette avait repris sa place sous la table de cuisine et son tricot. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies : quelques bruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement et avaient l'air de s'enfuir avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. Elle était harassée de fatigue et n'était pas encore sortie de la forêt. 150000 corrigés de dissertation en philosophie. Les philosophes classiques ne faisaient pas de différence entre les deux: l'âme, qui relève du sentiment que nous avons de nous-mêmes, est aussi le siège de la pensée. Cosette s'enfuit emportant son seau et faisant les plus grands pas qu'elle pouvait. « Dès l'instant qu'un homme eut besoin du secours d'un autre [...], l'égalité disparut, la propriété s'introduisit, le travail devint nécessaire, et les vastes forêts se changèrent en des campagnes riantes qu'il fallut arroser de la sueur des hommes, et dans lesquelles on vit bientôt l'esclavage et la misère germer et croître avec les moissons. Votre email : Ses grands yeux enfoncés dans une sorte d’ombre profonde étaient presque éteints à force d’avoir pleuré. Roger Caillois, Une nuit dans la forêt. Parfois le merveilleux et le miraculeux sont mis ensemble dans les contes de fées. La Thénardier avait jeté un coup d'oeil dans la rue et aperçu Cosette en extase. Son regard tomba sur le seau qui était devant elle. Cosette est symbolique alors que Momo est réaliste. En détruisant le travail des enfants, ils détruisent le travail de Dieu : cela revient à placer un ange en enter "battements d'ailes [...] sous leur voûte monstrueuse" ; comparaison entre la société du XVIIème siècle et la société antique. Cosette avait repris sa place sous la table de cuisine et son tricot. L'enfant n'eut pas peur. Victor Hugo restitue le point de vue de l'enfant qui perd facilement une perception réaliste des choses et qui n'arrive pas à dominer son angoisse. Il était renversé en arrière, la lueur des deux chandeliers l’éclairait ; sa face blanche regardait le ciel, il laissait Cosette et Marius couvrir ses mains de baisers ; il était mort. Cosette est donc un ange en enfer. Ce n'était plus seulement de la terreur qui la gagnait, c'était quelque chose de plus terrible même que la terreur. Une fillette soulevant à deux mains un seau plein d’eau, tandis que «le tragique masque de l’ombre semblait se pencher vaguement sur cet enfant» : Cosette. Cosette saisit l'anse à deux mains. La voûte monstrueuse est l'enfer alors que les battements d'ailes représentent un ange. Tel était l'effroi que lui inspirait la Thénardier qu'elle n'osa pas s'enfuir sans le seau d'eau. Dessins et photographies. Elle saisit l'anse à deux mains. Autre Le temps de vivre. Pornographie enfantine Tout être humain peut se reconnaître avec les paraboles. Le caractère poétique du texte est dû à sa grande simplicité. Le sublime, c'est un événement ou un tableau qui surgit de façon inattendue et qui nous surpasse par sa beauté, ça laisse un état d'étonnement, c'est le surgissement d'un événement inhabituel. Elle désigne d'une part l'intellect, la raison, la pensée. Recherche . Cosette (née à la fin de l'année 1815), surnom d'Euphrasie, est l'un des personnages du roman Les Misérables de 1862 de Victor Hugo. Cet épisode est raconté comme un conte de Noël. C'est indicible car l'angoisse est à son paroxysme. La scène de rencontre entre Nadine et Momo apparaît comme une parodie de la rencontre entre Cosette et Jean Valjean. Ce style extrêmement simple donne beaucoup de gravité et de solennité grave, sérieuse au texte. (raison de l'abus) : Corrigé de 1198 mots (soit 2 pages) directement accessible, Le corrigé du sujet "Victor Hugo, Les Misérables: Cosette dans la forêt" a obtenu la note de : aucune note, misérables: cosette nuit cette citation. Le livre : Les Misérables Œuvre en cinq parties parue en 1869 : 1ère partie – Fantine 2e partie – Cosette 3e partie – Marius 4e partie – L’idylle rue Plumet et l’épopée rue St‐Denis On est passé du réaliste au sublime donc le sublime c'est le caractère mystérieux, inattendu de quelque chose d'inexplicable, d'inexprimable par sa beauté, quelque chose d'à la fois évident par sa simplicité et fulgurant. Si vous le faites chaque années vous pouvez modifier le circuit pour vous simplifier la vie.. Il suffit de couper le tuyau entre la prise d’eau et le filtre et de mettre un « Y » . D'ailleurs le parcours de Cosette évoque le chemin de croix de Jésus-Christ ; Jésus s'est fait ressuscité et Cosette a été sauvée. Cette pénétration des ténèbres est inexprimablement sinistre dans un enfant. Pourquoi souhaitez-vous signaler cet abus ? L'attendrissement se voit dès le début avec la métaphore des battements d'ailes pour le coeur de Cosette. On eût dit une plaie lumineuse. Dans ce passage avec la main de Jean Valjean, Hugo nous raconte le miracle chrétien. On ressent un sentiment d'aliénation, on est étranger à soi-même ; cela est dû au fait que les fantasmes s'emparent de Cosette car elle est angoissée par ce sentiment et fascinée, attirée et repoussée par la forêt. Dans l'éclipsé, dans la nuit, dans l'opacité fuligineuse (1) il y a de l'anxiété, même pour les plus forts. Cela casse tout le sérieux, le religieux de la scène qui s'achève avant la scène de la drogue. Atteinte aux droits d'auteur Présentation. Son oeil était devenu farouche. De grands branchages s'y dressaient affreusement. L’homme, qui avait à peine trempé ses lèvres dans le verre de vin qu’il s’était versé, considérait l’enfant avec une attention étrange. Cet homme, sans dire un mot, avait empoigné l'anse du seau qu'elle portait. Elle frissonnait. Elle respira un instant, puis elle enleva l'anse de nouveau, et se remit à marcher, cette … Le bois était ténébreux, sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. Quand l'œil voit noir, l'esprit voit trouble. Cela se passait au fond d'un bois, la nuit, en hiver, loin de tout regard humain ; c'était un enfant de huit ans. On a des métaphores qui transfigurent la réalité, les vérités générales pour comprendre la psychologie. Elle fit ainsi une douzaine de pas, mais le seau était plein, il était lourd, elle fut forcée de le reposer à … C'est au moment où elle l'appelle que Dieu, grâce à J. Valjean, intervient ; la simple fois explique le miracle (sublime). Elle respira un instant, puis elle enleva l'anse de nouveau, et se remit à marcher, cette fois un peu plus longtemps. Au début du roman il croise Fantine, une jeune fille devenu prostituée après avoir dénié une grossesse produite avant le mariage. Quand l'œil voit noir, l'esprit voit trouble. Elle eut de la peine à soulever le seau. La planète, en effet, était en ce moment très près de l'horizon et traversait une épaisse couche de brume qui lui donnait une rougeur horrible. Jupiter se couchait dans les profondeurs. Elle avance un peu dans la rue puis elle traverse et là elle rencontre son amie Jessica. Il y a des accents de sincérité qui peuvent résonner de façon artificielle, à cause de leur trop plein sans doute comme le seau d’eau de Valjean et Cosette. Madame Rosa est une représentation grotesque, burlesque de Fantine, sans dents, sans cheveux, la prostituée qui vend son corps pour son enfant. Cosette … Une comparaison est possible avec "La Vie devant soi" même si tout ne se compare pas (Momo en Cosette, Madame Rosa en Jean Valjean). Hernani : Acte III sc�ne 4 : tirade de Hernani, Hugo : Les Mis�rables : Chapitre I : La mort de Javert, Hugo : Les Mis�rables : Tome II, Livre 3, Chapitre 5, Victor Hugo : Ch�timents : Chanson (VII, 6). On a l'ambiance des contes de Grimm (B-N), c'est l'angoisse qui transfigure le réel : "les forêts sont des apocalypses", "une énormité vue de la nature" ; la nature est agressive. Nouvelle édition Nouvelle édition. C'était un homme qui était arrivé derrière elle et qu'elle n'avait pas entendu venir. Les répétitions mettent également l'attendrissement en valeur ainsi que l'absence de mots de liaison (parataxe). Et sans doute sa mère, hélas ! Victor Hugo : Elle �tait d�chauss�e, elle �tait d�coiff�e... Victor Hugo : Hernani : Acte I sc�ne 1 (Sc�ne d'exposition), Victor Hugo : Les Contemplations (V, 9) : Le mendiant, Victor Hugo : Les Contemplations : Tout vient et passe, Victor Hugo : Les Mis�rables : Partie II : Chapitre 10 : Le plateau de Mont Saint-Jean, Victor Hugo : Les Rayons et les Ombres : La Fonction du po�te, Victor Hugo : Les Travailleurs de la mer : La pieuvre, Victor Hugo : Les voix int�rieures : Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir, Victor Hugo : O jeunes gens ! Momo est très avancé sur son âge. Commentez cette citation. Hugo joue aussi sur les contrastes. Une grande forme noire, droite et debout, marchait auprès d'elle dans l'obscurité. Il faut à l'homme de la clarté. La peur lui était revenue, une peur naturelle et insurmontable. Tournesol:. ... Les expression "petite âme" et "voûte monstrueuse" sont des antithèses qui expriment la fragilité de Cosette et …