Cette "petite" bête est très bien faite notamment au niveau des yeux qui expriment beaucoup de choses et comme on dit souvent, les mots ne sont pas nécessaires quand tout passe par le regard. Tout ça aide à caractériser la farce, mais sans jamais perdre en dramaturgie, le film reste fort et poignant. Naomi Osaka interviewed Gael Monfils on Instagram Live Friday. … Lire l'avis à propos de Okja, Okja n’est pas un film de SF, ce n’est pas une dystopie sympathique, c’est notre futur proche si rien ne change. Lorsque la puissante société Mirando, la compagnie à l'origine du projet, souhaite reprendre Okja à des fins mercantiles, Mija décide de parcourir la Corée, puis le bout du monde (aidé par l'AFL, défendant les animaux) pour sauver sonami. Retrouvez les 230 critiques et avis pour le film Okja, réalisé par Bong Joon Ho avec Seo-Hyun Ahn, Tilda Swinton, Jake Gyllenhaal. C'est un très bon et joli film, mais il y a quand même pas mal de longueurs notamment au début de la seconde heure qui empêchent de vivre pleinement et intensément cette aventure pleine de péripéties qui manque également de surprise. SensCritique 41,745 views. Au milieu du conflit très actuel entre capitalisme et écologies, une petite fille a pour seul but : sauver son animal de compagnie. Alexandre Wetter, Pascale Arbillot, Isabelle Nanty, Avec Created by Bill Dubuque, Mark Williams. Okja est aussi associé à un tourbillon d'émotions. Totalement resté insensible à ce film, qui outre sa réalisation plutôt brillante ne reste qu'une morale géante pro écolo/anti capitaliste sans grand recul (avec un placement de produit Apple O_O), même si le côté caricatural est assumé il n'en reste pas moins irritant, en fait j'ai eu l'impression d'être face à un live action Disney coréen, avec ses rebondissements enfantins et ses personnages dans l'excès continuel (naufrage absolu de Gyllenhaal). Critique : OKJA (Netflix) **** Pitch Pendant 10 ans, la jeune Mija s’est occupée sans relâche d’Okja, un énorme animal au grand cœur, au beau milieu des montagnes de Corée du Sud. Et franchement, sur la première moitié, j’étais prêt à passer outre. Un film poignant, des personnages attachants, des acteurs talentueux, un excellent scénario... Okja a toutes les composantes pour adresser un véritable message politique et humaniste, ce qui nous incite à tirer un enseignement moral. 8:59. Toute la critique et bien plus encore sur Cinephilion.net ! Un genre de fable écologiste à la Avatar avec des gros sabots, qui saute allégrement et a pieds joints dans tous les clichés les plus ridicules. Directed by Duncan Jones. Avec ce nouveau film, Joon-ho Bong dénonce pas mal de choses comme l'hyperconsommation ou les dérives du capitalisme, mais pour ne pas être taxé d'extrémiste ou autre, il le fait de façon plutôt légère et se moque de tout et surtout de tous peu importe leur camp ce qui est très important. Lire la suite, Le peuple hébreu venait d'être libéré de l'esclavage. C'est un conte et en même temps une alarme, qui prend des éléments effectivement pas vraiment neufs, mais en construit quelque chose de puissant et de Beau, au sens large du terme. 4 abonnés Voir « Okja »… Ah ça ! Une vraie splendeur !! Seo-Hyun Ahn est excellente en Mija (déjà très bonne dans Monster), et apporte une vrie innocence à cette histoire, où un enfant vivant loin de tout avec son grand-père paysan découvre ce monde froid d'adulte et industriel (magnifiquement représenté visuellement par les couleurs, avec une Mija en rouge, et le reste des personnages portant du noir ou du bleu). Quel qu’en soit l’issue du récit, « OKJA » détient une telle force de conviction qu’il en ébranle nos modes de vie et remet en question tout un système dominant. Ce film d'aventure mis en scène par le scénariste et réalisateur Sud-coréen Joon-Ho Bong nous délivre un scénario très inégal dans son évolution : après un début joli et poétique, il tourne vite à la débandade avec de gros travers de comédie hollywoodienne ou de fable Disney pour adolescents. Qui dit Bong Joon-ho dit mise en scène majestueuse et réalisation millimétrée Okja est superbe visuellement, tant dans ses scènes de course-poursuites hallucinantes, ou des moments intimistes (là où il est le meilleur). Reprenant certaines des questions soulevées dans The Host, la créature résultant des... : 41 abonnés Et je trouve que ça fonctionne vraiment bien, plusieurs fois le film était super juste dans ce qu'il montrait, il arrivait à garder une certaine sobriété et ne tombe jamais dans le pathos absolu. En positivant un max, "Okja" est un divertissement familial de base. Mija éclate de rire :-l. Mija pleure :-l. Mija réflechit :-l. Mija pète un boulon :-l. Mija pète :-l. Quel charisme! Il se dégage de ce moment une atmosphère qu’Emir Kuzturica n’aurait pas renié, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary, Marvel Sony Untitled Spider-Man: Far From Home Sequel. Enfin, les personnages sont tous d'une grande profondeur et chaque caractère est passionnant comme souvent avec Bong. Où on se demande comment c'est possible de produire de telles images. "Tout est consommable, sauf les cris" (Nancy Mirando) Mija (Ahn Seo-Hyeon âgée de 13 ans en 2017) entourée par les deux principaux producteurs de récits du film. Après une ouverture assez ébouriffante calquée sur un clip marketing adepte du Green Washing, et fleurant bon la satire, place à la traditionnelle relation entre l’enfant et le monstre. CGU | En restant réaliste, on se demande si ce film est du lard ou du cochon. Bref, j'ai beaucoup aimé et ça va me motiver à voir Mother. Les animaux maltraités se retrouvant tous dans des enclos barbelés, l’inspiration culottée des camps de concentrations de la Seconde Guerre Mondiale traduit une des polémiques autour du film. Okja semble comprendre les choses comme un être humain, on a du mal à y croire.. Reste quelques jolis moment comme au début dans la montagne (hormis la scène caca) et la scène très sombre dans le camps de concentration des supers cochons. Quelque part je rapprocherai un peu ce film de The Mermaid de Chow, où la violence et la brutalité venaient également tout à coup s’immiscer dans le quotidien plutôt tranquille, les deux films ayant un message fortement écolo. The film was acclaimed by critics, with many praising Mulligan and Gyllenhaal's performances. poussant hors de l'enclos au moins un de ses petits, saisissant avec intelligence - les porcs sont très fins - l'opportunité de le sauver - quand Mija ayant troqué la vie de son amie Okja auprès de la plus redoutable des jumelles Mirando, alias, dans le double rôle, Tilda Swinton, le longe, avant le retour dans son Paradis). C'est une véritable prise de conscience que le réalisateur veut nous montrer là. On voit que Bong Joon-ho veut remporter l'adhésion massive mais, tout auteur qu'il est, à force de rendre une oeuvre élémentaire elle en devient quelconque dans un paysage cinématographique qui n'a de cesse de s'uniformiser, le Dernier Train pour Busan en est un autre exemple,celui du cinéma coréen désireux de se muer en block hollywoodien typique, perso ça me dérange un peu... Lire ses 1 799 critiques, Suivre son activité Avec un casting très bien choisi avec des guests de luxe. Mais, simplement parce que "Moïse tardait à descendre de la montagne", le peuple se fit une idole, un Veau d'Or. Okja ist eine saftige Anklage an eine Industrie, die es sich zur Aufgabe gemacht hat uns Verbraucher von einer pervertierten Version des sogenannten Oualitätsfleisch zu überzeugen. Voyez-le! Au delà de la débâcle médiatique autour de sa sortie en salle et du Netflix Gate autour du film, Okja nous offre une histoire véritablement touchante. Outre la publicité faite à Bong Joon Ho, qui n’avait pourtant plus grand à chose à prouver (Memories of Murder, The Host, Mother), le film aura d’emblée acquis ma sympathie.... 2789 abonnés La folie de ce monde passe également par la mise en scène, notamment une scène, où Okja est enfermée, la pièce rectangulaire est filmée en plan zénithal, mais le cadre du plan est légèrement incliné par rapport à la pièce, on voit alors Okja déambuler d'un bout à l'autre de la pièce, sans jamais réellement être dans le cadre une réelle impression de malaise sort de là. Une nouvelle réussite d'un des meilleurs réalisateurs de notre époque. Je craignais une oeuvre très facile, qui te balance sans arrêt et sans subtilité que les abattoirs c'est le mal, que le lait c'est un meurtre et autres "le fromage c'est un génocide". Dans une volonté d’établir petit à petit une réflexion sur la violence animal, Joon-Ho Bong entame au beau milieu du film la brillante (et perverse…) idée de confronter le Docteur Johnny Wilcox et OKJA dans une cellule semblable à un numéro de « Saw ». Les services AlloCiné | Certaines scènes sont assez choquantes mais au final tellement réalistes de ce qu'il se passe réellement dans ce monde sur l'abattage des animaux en masse, sans aucun respect. Le reste du casting n'est pas en reste, notamment Jake Gyllenhaal, jouant une personnalité TV complètement délurée, souhaitant apporter une touche médiatique à l'entreprise sans précédant qu'est la production de super-cochons, censés mettre un terme à la fin dans le monde. C’est précisément sur ce point que le réalisateur réussi à faire réagir en élargissant son champ d’attaque culturel à l’international. Le tout est servi par une histoire déchirante, menée tambour battant qui rappelle par certains aspects E.T. Vraiment. Lire ses 201 critiques, Suivre son activité Certes, je n’ai pas trop aimé ce dernier film, mais quand même : merde ! Abonne toi, l'internet et le cinéma c'est cool.Alors abonne toi copain. Données Personnelles | Une prétendue divinité qui était incapable de donner aux hommes les satisfactions immédiates qu'ils attendaient. Virginie Efira, Albert Dupontel, Nicolas Marié, Avec Une bonne nouvelle. 273 abonnés Les critiques dithyrambiques sont pour moi incompréhensible. Notre critique du film « Parasite » de Bong Joon-Ho, Palme d’Or du festival de Cannes 2019 Le septième long-métrage du Coréen Bong Joon-Ho, tragi-comédie palpitante et sans appel sur les rapports de classes, a dépassé toutes nos attentes, et elles étaient grandes. Alors certes il y avait des scènes qui me laissaient vraiment perplexe (, Je l'attendais avec impatience. Lire ses 3 737 critiques, Suivre son activité Préférences cookies | A financial advisor drags his family from Chicago to the Missouri Ozarks, where he must launder money to appease a drug boss. Seulement voilà, ça tient aléatoirement au départ, pour ne plus tenir du tout par la suite. Harmonisé par une verdure d’exception, le métrage commence avec une zénitude en pleine forêt au cœur des montagnes. okja '2017' [english] full''movie download. Face à cela, Mija et son grand-père démontrent un bonheur simple et sincère, en pleine montagne et loin de ce monde emprisonné par le capitalisme. J'aime bien les films où c'est trop bien fait. Based on the bestselling comic book, Vin Diesel stars as Ray Garrison, a soldier recently killed in action and brought back to life as the superhero Bloodshot by the RST corporation. Ex. La cause de "Okja" est noble : dénoncer le massacre des animaux dans les usines et l'hypocrisie des lobbies pour étouffer ce qui s'y passe. N'en déplaise au service gériatrie du festival de Cannes. Avec un carrelage blanc légèrement tacheté de sang et un jeu d’acteur de la part de Jake Gyllenhaal glaçant, la scène instaure un mal aise digne d’un des épisodes d' »American Horror Story Asylum ». Lire l'avis à propos de Okja, Je l'ai attendu hier ! Okja est donc une histoire aussi choquante qu'elle est magnifique par la forte relation qui unit Mija et son animal, à voir absolument ! Les innovations artificielles sont donc nombreuses pour assouvir ces incapacités, dont OKJA, ce « Super Cochon » pensé pour rassasier une partie des vivre de la planète… Qui plus est, doté de réactions beaucoup trop humaines et d'un aspect visuel aussi naturel que du pâté industriel. 444 abonnés Une semaine après Claude Rich, avec lequel elle avait plusieurs fois partagé l'affiche (notamment dans le très beau Mata-Hari Agent H21), Jeanne Moreau - d'un an son ainée -  actrice de génie entrée dans la légende pour avoir tourné avec Truffaut, Demy, Buñuel, Fassbinder, Welles ou … The screenplay, written by Dano and Zoe Kazan, is based on the 1990 novel of the same name by Richard Ford. Lire ses 37 critiques, Suivre son activité online. Lire la critique de Okja, C'est classe. Ca ne laisse pas le choix. Or moi, autant je rejoins tous ceux qui se sont ulcérés du sort réservé au film de Bong Joon-ho, autant je prendrais mes distances à l’égard de tous ceux qui le qualifieraient de chef d’œuvre méprisé. okja sens critiqueinondation avignon 2019. NFSC #3 - Ce qui nous lie (critique film) - Duration: 89 seconds. C'est dur d'imaginer,... Lire ses 2 269 critiques, de Directed by Paul Dano. La grosse société qui représente de façon à peine voilée un géant de l'agroalimentaire du genre Monsanto, qui a l'air gentille mais dont on sent que c'est des méchants, et la petite fille héroïne, très gentille, remplie d'humanité, qui va s'opposer à la grosse société, car c'est des méchants, et c'est elle la gentille, car elle a compris le sens de l'amour... On ajoute à ça une volée de personnages tous plus surjoués et peu convaincants les uns que les autres : la PDG de l'entreprise agroalimentaire, dans un style un peu "Cruella d'Enfer", le présentateur TV qui fait le foldingue, en imitant des attitudes et des répliques à la Rocky Horror Picture Show ou Phantom of The Paradise (sauf que c'est raté et tout simplement gênant) et surtout, la bande d'écolos genre "L214" ou "Animal Liberation Front" en version édulcorée. 68.7k Followers, 740 Following, 6,235 Posts - See Instagram photos and videos from SensCritique (@senscritique) Je trouve le film assez complet dans le panel d'émotion qu'il fait vivre, mais également dans son discours, il semble s'en prendre aux multinationales, mais également à leur "greenwashing", tout en dénonçant certaines actions des militants écolos qui pour mieux dénoncer laissent souffrir des animaux. », comme les enfants. Tout est très grossier, à commencer par les personnages de "méchants" surjoués par Tilda Swinton et Jake Gyllenhal tout deux insupportables, ainsi que l'assistante à lunettes dont l'actrice semble provenir d'un théâtre amateur.