Leur proportion dans le département est passée de 12,9 % en 1999 à 14,3 % en 2007 et le nombre de communes de cette catégorie est passé de 34 à 38 dans la même période. Tableau de l'évolution démographique de Cognac et de son agglomération urbaine de 1975 à 1999. Elles représentant 10,4 % des communes du département, soit une commune sur dix en Charente a plus de 100 hab/km2. Ce nombre est identique à celui du recensement de 1999. Ce phénomène n'est pas inhérent au seul département de la Charente puisqu'il se vérifie également dans le département voisin de la Charente-Maritime. La rurbanisation est un fait social bien ancré en Charente. La superficie du departement de la Charente est de 5 955,99 km ². Offres et annonces de travail en Charente des centaines d'offres d'emploi actives en Charente et à moins de 25km. Comme dans la catégorie précédente, cette tranche de petites communes tend également à se réduire et leur nombre à diminuer. Les Résidences de Vacances de la Charente, liste des résidences de tourisme, coordonnées, site web, avis et tarifs de votre location en Charente, Charente : Avis Carte Résidences Vacances. Chapelle Providence. L’agglomération d’Angoulême y a un poids écrasant, rassemblant plus des 2/3 de la population urbaine en Charente (65,1 %). Distance de la mer la plus proche de la Charente. Ainsi, la continuité du phénomène de l'"exurbanisation" d'Angoulême mais également de Cognac profite à ces petites communes. Les données économiques comme le chômage et l'emploi. Il est vrai que le canton de Brossac affiche une croissance assez exceptionnelle de 7,3 % dans cette même période, mais elle n'est pas significative au regard de la population de ce canton qui est le moins peuplé du département et de toute la région. Ce qui représente 1 commune sur 6 en Charente. Cathédrale St Pierre. L'évolution démographique de la Charente en chiffres, Graphique de l'évolution démographique de 1793 à 2007, Les grandes dates de l'évolution démographique de la Charente pendant la période contemporaine, Tableau des arrondissements et de leur superficie, La population des arrondissements en 2007, Tableau démographique des arrondissements de la Charente, Tableau de l'évolution démographique des arrondissements de la Charente de 1946 à 2007, Tableau démographique des 35 cantons de la Charente et leur évolution démographique entre 1999 et 2007, La répartition démographique par tranches communales, Tableau de l'évolution démographique par tranche de communes entre 1999 et 2007, La tranche des communes de 1 000 à 1 999 habitants, La tranche des communes de plus de 2 000 habitants, Les 31 communes de plus de 2 000 habitants, Tableau de l'évolution démographique des 31 communes de plus de 2 000 habitants entre 1999 et 2007, Tableau des densités de population des quatre départements de Poitou-Charentes en 2007, Tableau des densités de population des deux autres départements limitrophes de la Charente en 2007, La densité de population des arrondissements, Tableau des densités de population des trois arrondissements de la Charente en 2007, Tableau des densités de population des cantons de la Charente en 2007, Tableau des dix communes les plus densément peuplées de la Charente en 2007, Tableau des six communes les moins densément peuplées en 2007, Tableau de l'évolution de la population rurale de 1946 à 1999, La période 1946-1975 : chute spectaculaire de la population rurale, La période 1975-1990 : la population rurale, moteur de la croissance démographique de la Charente, Tableau démographique de quelques cantons péri-urbains autour d'Angoulême et leur évolution démographique entre 1975 et 1990, La péri-urbanisation dans le canton de Jarnac entre 1975 et 1990, La péri-urbanisation dans le canton de Barbezieux entre 1975 et 1990, La période 1990-1999 : arrêt de l'essor de la population rurale, L'évolution du taux de population urbaine depuis la Libération, L'évolution de la population urbaine depuis la Libération, Première période (1946-1975) : un essor urbain ininterrompu, Deuxième période (1975-1999) : le déclin urbain, Tableau de l'évolution urbaine de 1946 à 1999, Tableau des dix unités urbaines de la Charente en 1999, Tableau démographique de 10 unités urbaines de la Charente et leur évolution démographique entre 1999 et 2007, L'agglomération d'Angoulême, une expansion urbaine régulière, Le léger "regain" de Cognac et de son agglomération, Le déclin persistant des petites villes du Confolentais. Cependant, ces communes étaient plus nombreuses au recensement de 1999 puisqu'elles étaient au nombre de onze. En 1999, la Charente comptabilisait 10 unités urbaines, ce nombre demeure le même en 2007. Dans le même temps, l'unité urbaine de Cognac a perdu une commune (Cherves-Richemont) et est repassée sous les 30 000 habitants depuis 1990. (N.B. (Classement par ordre d'importance de population). Toutes ces villes ont une densité de population supérieure à 200 hab/km2 dont trois ont plus de 1 000 hab/km2 et quatre autres ont entre 500 hab/km2 et 999 hab/km2. - Ville et Village du monde Elle était la première agglomération urbaine de la région Poitou-Charentes devançant La Rochelle et Poitiers. Par contre l'arrondissement de Cognac, qui est le plus petit des trois avec une superficie 1 471 km2, occupe tout juste le quart de la superficie départementale avec 24,7 %. Après avoir progressé de façon remarquable entre 1946 et 1975 où il atteint son taux le plus élevé avec 49,2 %, cette proportion de la population urbaine a par la suite régressé jusqu’en 1990 pour se stabiliser par la suite en 1999. Carte des densités de population des cantons de la Charente en 2007, 42 communes ont de plus de 100 hab/km2 en 2007. En fait, ces deux villes sont en crise urbaine depuis le milieu des années 1970 et continuent de perdre de la population, autant dans les vieux quartiers de centre-ville que dans les quartiers populaires. Par contre, la période 1990-1999 tranche nettement avec la précédente, étant plutôt négative pour la population rurale comme pour l'ensemble de la population départementale. Une majorité d'entre elles bénéficient généralement d'un bon report de la péri-urbanisation avec installation de jeunes ménages souvent avec des enfants et revitalisation économique et sociale des villages. Elles ont l'avantage d'être situées entre dix et vingt kilomètres d'Angoulême, et bénéficient toutes d'une croissance démographique très rapide, en particulier celles qui sont situées dans les cantons de La Rochefoucauld, Hiersac et Saint-Amant-de-Boixe. Selon l’étude, la teneur des échanges et la profondeur de ce partenariat sont largement sous-estimées. En 2007, 68 communes ont une densité de population comprise entre 50 et 99 hab/km2. Chabanais est d'ailleurs passée sous le seuil des 2 000 habitants en 1999. Elles sont 31 communes représentant en 2007 50,5 % de la population départementale. Ce sont tous des cantons péri-urbains situés autour d'Angoulême ou semi-ruraux en forte expansion démographique pour au moins trois raisons majeures : un prix de l'immobilier beaucoup plus accessible pour les jeunes ménages, un coût du foncier nettement plus abordable et enfin une pression fiscale sur le foncier moins lourde que dans les villes. Dans cette période de reconstruction de l'après-guerre et d'expansion industrielle qui a surtout profité aux villes, la population urbaine s'est accrue deux fois plus vite que la population départementale. CHARTE D’UTILISATION DE SENACS 1. Alors que toutes les communes de son canton affichent des croissances démographiques records entre 1999 et 2007, seul ce chef-lieu de canton ne participe pas à ce renouveau. Certes, à l'instar d'Angoulême, la ville-centre perd de la population avec une baisse de population de 291 habitants entre les deux derniers recensements mais cette décroissance a profité aux villes de sa proche banlieue, en particulier à Châteaubernard qui, avec 3 884 habitants, enregistre l'une des plus fortes croissances urbaines de la Charente (+ 10 %). Cette attractivité échappe certes à la ville-centre qui continue de perdre de la population (- 502 habitants) mais elle se confirme nettement dans Combien d'habitants en 2030 à Angoulême Sur le long terme la population est passée de 47 822 habitants en 1968 à 41 865 habitants en 2020, soit une évolution de -12% sur une période de 52 ans. La densité de population du departement de la Charente est de 58,27 habitants par km². Localisation et accès. Au recensement de 2007, ces communes se situent majoritairement dans l'arrondissement de Confolens qui est, pour rappel, le moins peuplé des arrondissements de la Charente et le plus rural. Elles se sont transformées en communes péri-urbaines ou semi-rurales et sont majoritairement situées dans l'aire urbaine d'Angoulême et dans celle de Cognac. Population de la Charente, nombre d'habitants 2020 Population de la Charente en 2020 Il y a 348 180 habitants dans le département de la Charente en 2020, la population légale officielle de la Charente est cependant de 353 288 habitants car le dernier chiffre officiel date du 31/12/2016 (populations légales de 2017, 2018, 2019 identiques). Ce constat se vérifie avec force dans les cantons péri-urbains de La Rochefoucauld, Saint-Amant-de-Boixe et Hiersac ainsi que ceux redynamisés de Montbron et de Blanzac-Porcheresse dans l'arrondissement d'Angoulême. Ajouter un lieu sur Ville-data.com c'est libre et c'est complètement gratuit ! Ces communes sont très souvent situées dans le "rural profond" et sont très peu attractives, sauf celles qui peuvent bénéficier d'une relative proximité d'Angoulême et de son agglomération urbaine, pôle urbain principal du département dont l'influence s'étend largement sur ces communes. Le nombre d'habitants de la Charente est de 348 180 personnes en 2020, la population de la Charente est en hausse. Cependant, elle fait nettement mieux que la deuxième agglomération du département qui est Cognac. Cette catégorie de communes dont la population est comprise entre 500 et moins de 1 000 habitants affiche une certaine vitalité démographique. A la lecture du tableau ci-dessus, les très petites communes, celles appartenant à la catégorie des communes de moins de 199 habitants, tendent à se dépeupler et leur nombre à diminuer régulièrement. Phénomène de déprise urbaine au même titre que l'exode rural mais qui touche les cœurs des villes depuis les années 1970. En effet, à l'intérieur des limites de son agglomération, toutes les villes de plus de 5 000 habitants sont en croissance démographique, y compris celles qui avaient perdu continuellement de la population depuis 1975, notamment Soyaux et Ruelle-sur-Touvre. Cette petite cité touristique que domine son joli château Renaissance possède pourtant de nombreux atouts, étant entre autres située dans l'orbite d'Angoulême et étant bien reliée à la préfecture charentaise depuis la réalisation de la 2X2 voies de l'axe routier Angoulême-Limoges. Le chiffre de 2007 qui indique une population de 349 535 habitants correspond à celui de la population municipale (sans doubles comptes), la population totale étant elle de 362 528. Une sorte de "banlieue" à la campagne s'est donc spontanément développée autour d'Angoulême principalement, s'étendant notamment dans cinq cantons périphériques (Blanzac, Hiersac, La Rochefoucauld, Saint-Amant-de-Boixe et Villebois-Lavalette). « Labenne a des qualités de vie assez exceptionnelles confie cette habitante, surtout quand on a une jeune famille. Nombre d'enfants par famille et évolution démographique. Certes, elle résiste mieux que les quatre autres villes secondaires précédemment mentionnées mais elle n'exerce aucune attractivité sur son canton. L'aire urbaine d'Angoulême rassemble 161 282 habitants en 2007[N 14], soit 46,1 % de la population du département, elle a continué de renforcer son poids démographique en Charente. La population de la Charente est donc en hausse. Par contre, comme partout ailleurs dans le département et la région Poitou-Charentes, ces communes situées en milieu rural profond n'offrent guère de possibilité de développement et sont le plus souvent condamnées à péricliter, sinon à stagner dans un premier temps. Si la population rurale demeure majoritaire en Charente, les villes ont dans un premier temps été le moteur de la croissance démographique départementale avant d'entrer dans une crise profonde, à l'exception notable d'Angoulême. Les habitants de la Charente étaient au nombre de 339 628 au recensement de 1999 et de 347 037 au recensement de 2006. Cette liste donne une indication de l'évolution urbaine en Charente qui, en première lecture, montre que l'urbanisation continue de progresser à Angoulême, qu'elle se reprend légèrement à Cognac mais qu'elle régresse dans toutes les petites villes depuis le début du XXIe siècle. De même en est-il pour La Rochefoucauld qui perd de la population entre 1999 et 2007 alors que son bilan démographique sur les trente dernières années est particulièrement négatif. Cette évolution contrastée entre ces deux périodes de l’histoire urbaine de la Charente se lit également dans le nombre de communes et d'unités urbaines qui, depuis 1975, a à peine changé. Consultez un résumé des principales données officielles de la Charente, pour en savoir plus sur la population vous pouvez voir la répartion par catégorie sociale de la Charente ainsi que les chiffres de la délinquance de la Charente. L'agglomération de Cognac s'accroît très légèrement entre 1999 et 2007 avec un gain de population de 161 habitants. En fait, ce petit centre progresse peu car il comptait 2 903 habitants en 1982 et avait perdu de la population aux recensements de 1990 et 1999. Si la Charente-Maritime ne compte pas de grande ville à proprement parler [N 1], seule l’agglomération urbaine de La Rochelle dépasse les 100 000 habitants, avec 127 033 habitants en 2007 [1]. En 2007, la Charente compte 14 cantons sur 35 ayant plus de 10 000 habitants, soit 2 cantons sur 5. L'évolution démographique de la Charente est caractérisée par plusieurs phases, mais dans une vue globale, le département a peu progressé. Il est passé de 79 280 habitants en 1962 à 70 701 habitants en 1975, perdant 8 579 habitants, soit une baisse de - 10,8 %. : La population de chaque arrondissement correspond à celle de leurs limites territoriales de 2008)[2]. Enfin, l'arrondissement de Confolens est le seul du département à ne pas compter de cantons dont la densité de population dépasse les 50 hab/km2 et il compte deux cantons avec une densité inférieure à 19 hab/km2. De plus, aucun de ces petits centres ne dépasse les 3 000 habitants au recensement de 2007 alors qu'en 1975, Roumazières-Loubert en comptait 3 146 et qu'en 1982, ils étaient deux à franchir ce seuil avec Confolens (3 009 habitants) et Roumazières-Loubert (3 007 habitants). Même les communes de cette catégorie situées dans le canton de Jarnac et dans celui de Rouillac, tous deux situés dans la mouvance urbaine de Cognac et dont certaines communes font partie de son aire urbaine, bénéficient d'un réel essor démographique. Cette "exurbanisation"[N 3] touche encore Angoulême et Cognac, principalement les quartiers populaires. Si Ruffec voit sa population relativement se stabiliser entre 1999 et 2007, c'est dans le long terme qu'il faut analyser la situation démographique de cette petite ville. La population se concentre principalement dans l'arrondissement d'Angoulême qui rassemble plus de la moitié de la population départementale avec 193 710 habitants, soit 55,4 %, en 2007 tandis que celui de Cognac en rassemble un peu plus d'un quart avec 26,1 %. Ruffec a perdu entre 1975 et 2007 647 habitants, soit - 15,3 %. Le calcul du taux d'incidence tient compte depuis le 8 décembre 2020 des tests antigéniques. Leur chute démographique n'a pas été stoppée depuis le début du nouveau siècle, elles ont perdu une réelle attractivité alors que leurs cantons sont attractifs, à l'exception de celui de Barbezieux. Elles ne représentent plus que 3,9 % de la population départementale en 2007 contre 4,1 % en 1999. S’ils entrent en vigueur au 1er janvier 2020, ils recensent le nombre d’habitants au 1er janvier 2017. 1 175 couples se marient chaque année alors que 629 divorcent et 1 042 se PACS. Cependant, elles sont encore nombreuses puisque 1 commune sur 4 se trouve dans cette catégorie de communes. Liens; Site web: www.verteuil-charente.fr: Verteuil-sur-Charente est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine). Ainsi, à l'autre extrême du classement des communes, 6 d'entre elles ont moins de 9 hab/km2 en 2007. Ainsi, ce sont surtout les villes de banlieue et les communes péri-urbaines qui affichent les plus fortes croissances démographiques, comme partout ailleurs sur le territoire national. Il y a 348 180 habitants dans le département de la Charente en 2020, la population légale officielle de la Charente est cependant de 353 288 habitants car le dernier chiffre officiel date du 31/12/2016 (populations légales de 2017, 2018, 2019 identiques). La dernière modification de cette page a été faite le 20 décembre 2020 à 18:38. Cet essor remarquable est de + 58,4 % alors que, dans le même temps, le département ne s’est accru que de 25 937 habitants (+ 8,33 %). Cette "exurbanisation" profite aux communes de la proche banlieue de ces deux villes et aux communes rurales périphériques. Depuis la nouvelle refonte de la carte administrative du département appliquée au 1er janvier 2008, la superficie des deux premiers arrondissements de la Charente est relativement identique. La persistance de ce déclin touche notamment Barbezieux-Saint-Hilaire, Jarnac, Ruffec, La Rochefoucauld et Confolens. Angoulême et son agglomération exercent une influence largement dominante dans l'urbanisation du département mais ne parviennent pas à tirer vers le haut la croissance urbaine. Le nombre d'habitants pour 2020 est calculé à partir du taux d'évolution moyen annuel de 0.0% (2011-2016 source INSEE). Du coup, Cognac et son agglomération ont cessé d'être attractives et ont perdu entre 1975 et 1999 5 486 habitants[N 10]. Au total, 46 millions d’habitants Covid-19: les 54 départements et 46 millions d’habitants en couvre-feu - Charente Libre.fr Connexion La Charente est aussi le quatrième département de France en nombre de résidents britanniques, 5 083 en 2006, juste derrière Paris, la Dordogne et les Alpes-Maritimes[5],[6]. La date de référence statistique est le 1er janvier 2012, Plages en Bord de Mer les plus proches de la Charente. Parmi ces villes secondaires qui sont toutes de petites villes mais qui disposent d'équipements à l'échelle de leur canton ou de leur "pays", quatre sont durablement entrées dans une crise urbaine profonde. la répartion par catégorie sociale de la Charente, les chiffres de la délinquance de la Charente. La péri-urbanisation autour d'Angoulême mais également autour de Cognac est un phénomène social et urbain qui remonte au milieu des années 1970. ... L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Verteuil-sur-Charente. En 1999, le département en recensait 38, dont le même nombre qu'en 2007 avaient plus de 200 hab/km2. Cette commune située dans le centre-ouest de la Charente-Maritime a toujours fait partie de l'ancienne province de l'Aunis. La population de la Charente compte 297 377 habitants de plus de 15 ans.5 002 habitants, soit 1.68% de la population de plus de 15 ans sont agriculteurs exploitant.11 224 habitants, soit 3.77% de la population de plus de 15 ans sont artisans, commerçants ou chefs d'entreprise.15 786 habitants, soit 5.31% de la population de plus de 15 ans sont cadres ou professions intellectuelles supérieures.35 636 habitants, soit 11.98% de la population de plus de 15 ans sont de professions intermédiaires.46 637 habitants, soit 15.68% de la population de plus de 15 ans sont employés.43 310 habitants, soit 14.56% de la population de plus de 15 ans sont ouvriers.100 779 habitants, soit 33.89% de la population de plus de 15 ans sont retraités.39 003 habitants, soit 13.12% de la population de plus de 15 ans sont sans activité. Les 31 communes de plus de 2 000 habitants représentent en 2007 50,5 % de la population du département et celles de plus de 5 000 habitants en totalisent 31,5 %. L’indicateur pris en compte est ici la population municipale. Si l'on poursuit de façon linéaire cette évolution sur la base du taux d'évolution moyen annuel récent (2011-2016), le nombre d'habitants de la Charente en 2025 sera de 350 240 personnes, soit une hausse de 2 060 habitants (1%). (En caractères gras, les 9 communes de plus de 5 000 habitants en 2007), (Classement par ordre d'importance démographique au recensement de 2007). Ces deux arrondissements concentrent 81,5 % de la population charentaise en 2007. Le nombre de logements de Saint-Yrieix-sur-Charente a été estimé à 3 080 en 2007. Les trois plus fortes croissances démographiques dans la période 1999/2007 concernent le canton de La Rochefoucauld avec une croissance record de +12,7 %, suivi du canton de Saint-Amant-de-Boixe avec +12,3 % et du canton de Hiersac avec +6,9 %. Grâce à la péri-urbanisation, un grand nombre de ces communes péri-urbaines ont vu leur population croître dans d'importantes proportions. Ce qui est le cas notamment de Champniers qui passe tout juste le cap des 5 000 habitants avec 5 001 habitants et affiche une croissance de + 8,6 %, ou bien encore de Roullet-Saint-Estèphe et de Brie qui ont franchi le seuil des 3 500 habitants avec respectivement 3 686 habitants (+ 4,6 %) et 3 652 habitants (+ 22,6 %), cette dernière affichant l'une des croissances démographiques les plus élevées du département. La chute spectaculaire de la population rurale entre 1946 et 1975 n'a pas pour autant effacé la prépondérance de la population des campagnes dans le département puisqu'elle demeure majoritaire, même au plus fort du mouvement de l'expansion urbaine qui s'est arrêté en 1975. Barbezieux-Saint-Hilaire a perdu 513 habitants, soit - 9,9 % et Jarnac - 534 habitants, soit - 10,6 %. Parmi celles-ci, 9 communes ont plus de 5 000 habitants et sont toutes classées comme communes urbaines[N 5] ou en voie de l'être[N 6], dont 3 recensent plus de 10 000 habitants dont Angoulême qui compte plus de 40 000 habitants. Il s'agit en fait d'un petit centre en léthargie urbaine depuis de longues décennies et qui ne profite pas de l'influence exercée par Angoulême. Ces communes sont souvent d'anciennes communes agricoles que la péri-urbanisation a considérablement changé. Un seul canton a plus de 20 000 habitants; il s'agit du canton de La Couronne qui est dix fois plus peuplé que le canton de Brossac, ce dernier étant le plus faiblement peuplé de la Charente. Aujourd'hui, un habitant sur six réside dans une commune de 1 000 à moins de 2 000 habitants. Au recensement de 1999, une certaine stabilité dans l'évolution de la population urbaine est constatée. L'agglomération passe de 100 528 habitants en 1975 à 103 746 habitants en 1999, soit un gain de 3 218 habitants alors que, dans le même temps, la population urbaine a perdu 7 016 habitants. Dans cette période où l'urbanisation s'est considérablement développée dans les villes et a vidé progressivement les campagnes, l'arrondissement de Confolens affiche une décroissance démographique très importante. Définition . Elle s’est accrue aussi bien en population qu’en extension spatiale gagnant 2 communes entre 1975 et 1999 et totalisant 16 communes dans son unité urbaine. A faire et à voir en Charente. En 1975, la ville comptait 3 500 habitants, sa population est légèrement passée sous le seuil des 3 500 habitants dès 1999. L'arrondissement de Cognac compte 91 174 habitants en 2007 et occupe le deuxième rang par sa population dans le département de la Charente. En fait, le département rassemble une forte majorité de cantons de moins de 49 hab/km2 où ceux-ci sont au nombre de 21 dont 3 ont moins de 19 hab/km2. Avec 639 er000 habitants au 1 janvier 2015, la Charente-Maritime compte pour 11 % de la population de la r : elle bénéficie d’un égion phénomène d’héliotropisme qui pousse les ménages à venir s’installer au bord de l’océan : trois habitants sur dix habitent une commune du littoral. Cette situation se vérifie également dans le département voisin de la Charente-Maritime où les proportions démographiques sont presque identiques. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Sur le long terme la population est passée de 339 828 habitants en 1999 à 348 180 habitants en 2020, soit une évolution de 2% sur une période de 21 ans. L'évolution démographique de la Charente est caractérisée par plusieurs phases, mais dans une vue globale, le département a peu progressé. Seul, le gros bourg industriel de Chasseneuil-sur-Bonnieure avec 2 916 habitants en 2007 fait figure d'ilot de résistance dans le Confolentais, sa population ayant crû de + 4,7 % entre les deux derniers recensements. La première période, qui va de 1946 à 1975, se caractérise par une croissance très vigoureuse et régulière de la population urbaine où celle-ci gagne 61 171 nouveaux citadins. Passé 60 ans l'espérance de vie restante des femmes est de 27.0 ans et de 23.5 ans pour les hommes.La France a la 6ème plus grande espérance de vie du monde pour les femmes mais seulement la 23ème pour les hommes. C'est le quatrième arrondissement le plus peuplé de la région Poitou-Charentes, se situant après les arrondissements de Poitiers, Niort et La Rochelle. Cette légère croissance démographique est à signaler car elle met fin à une longue période de décroissance urbaine depuis 1975 où, à cette date, l'agglomération de Cognac affichait un chiffre de population record de 32 528 habitants.